Bien dans votre tête

La santé, c’est dans la tête d’abord. Il vous faut donc adopter les gestes qu’il faut pour que ça aille bien là-haut. De l’exercice physique est essentiel, donc choisissez une activité que vous aimez ou bien demandez à votre médecin quels exercices vous pouvez pratiquer exactement. Vous pouvez par exemple faire de la course sur place, ou des exercices de cardio chez vous, en poussant quelques meubles ou dans le couloir. Puis, veillez à prendre des repas équilibrés, des aliments sains, pas trop salés, ni trop sucrés ni trop gras. Mais vous pouvez faire plus, par exemple, vous plonger dans un de vos bouquins préférés. Avez-vous toujours rêvé d’apprendre une langue étrangère ? Lancez-vous à l’aide de vidéos sur Internet. Vous trouverez également des recettes originales de cuisine, à essayer.

Pas de distanciation sociale

Oui à la distanciation physique mais non à la distanciation sociale. Il est important de saisir la différence. Ne vous isolez pas. Évidemment, vous ne pouvez plus voir vos proches ni les serrer dans vos bras. Mais vous pouvez les voir par visioconférence par exemple. Faites des jeux avec eux, chantez avec eux et mangez avec eux! Même si cela se fait derrière un écran, vous passerez ensemble un moment agréable, à renouveler autant que vous le souhaitez. N’oubliez pas de garder contact avec votre médecin et n’hésitez pas à l’informer dès que votre santé décline.

Les personnes à risque vis-à-vis du cancer ovarien

Il existe des types de personnes qui sont beaucoup plus vulnérables au cancer ovarien que d’autres. C’est ce qu’on appelle des facteurs de risques. Cela peut être une cause héréditaire, dans le cas où plusieurs personnes de la même famille ont déjà des antécédents de cancer ovarien.
On parle également de prédisposition génétique, lorsque des membres de la même lignée familiale ont déjà subi des cancers de différentes sortes encore. C’est le cas du cancer du côlon et du cancer du sein. Des études statistiques ont également démontré que les femmes ayant peu d’enfants sont généralement plus vulnérables également.

Les principales manifestations du cancer ovarien

Comme dans tous les cas de cancer, les symptômes du cancer ovarien ne sont pas visibles dans les premiers stades de son développement. Mais au fur et à mesure que la maladie avance, on peut observer un gonflement au niveau du ventre. Des douleurs peuvent également apparaître dans la zone abdominale ainsi qu’un dérèglement intestinal.
Il y a d’autres symptômes qui ne sont pas directement reliés à la zone abdominale qui peut apparaître. Un manque d’appétit et une perte de poids soudaine peuvent se manifester, ainsi qu’une grande fatigue physique sans cause précise. Dans tous les cas, il est important de faire des examens gynécologiques fréquents.

L’utilisation d’un Vibro Shaper

Le Vibro Shaper peut se présenter sous différentes formes, mais le principe est le même. L’effet amincissant du https://www.weeza.fr/vibro-shaper/ est obtenu grâce aux vibrations produites par sa plateforme vibrante. En réponse à ces vibrations, les muscles du corps vont se contracter puis se détendre à raison de plus d’une dizaine de fois en une seconde. Cela a pour effet de tonifier le muscle et d’augmenter la dépense énergétique, d’où la perte de poids.
En pratiquant vos exercices physiques sur le Vibro Shaper, vous obtiendrez plus de résultats. Ceci étant, le Vibro Shaper n’est pas seulement connu pour tonifier les muscles, mais également pour lutter contre l’ostéoporose. Il améliore aussi la circulation sanguine. Si vous êtes intéressé par cet appareil, prenez le temps de comparer les offres en ligne avant de faire votre choix. Ne vous intéressez pas uniquement aux prix, mais également aux fonctionnalités du vibro shaper.

Les vêtements amincissants

Les vêtements amincissants ont permis à beaucoup de personnes de perdre du poids. L’efficacité des vêtements minceur repose en partie sur les substances amincissantes qu’ils contiennent. Pour obtenir de bons résultats, il est conseillé de porter le vêtement amincissant pendant ses exercices physiques, par exemple pendant sa séance de cardio training sur son vélo elliptique, sa séance de yoga, etc. Vous pouvez ainsi porter un vêtement minceur pendant votre séance de marche à pied, pendant votre séance de yoga, etc. En favorisant la sudation, le vêtement minceur permet de dire adieu à la cellulite.
Il est possible de choisir son vêtement amincissant selon les parties du corps qu’on veut amincir. Entre les leggings, les ceintures, les culottes, les shortys et les corsaires, on n’a que l’embarras du choix.

Outre-le vibro shaper et les vêtements amincissants, vous pouvez aussi essayer les thés minceur.

Le squelette humain

En tant qu’apprenti en médecine, un modèle de squelette humain est très indispensable pour bien assimiler les différentes anatomies et la physiologie du corps humain. L’utilité de cet équipement réside dans le fait de pouvoir étudier la morphologie des os et celui de l’articulation. Cela permet entre autres d’appréhender ce qui est difficile à comprendre dans le réel.

L’otoscope

En plus d’une lampe à LED pour observer les pupilles d’un patient, l’étudiant en médecine aura besoin encore d’un otoscope pour compléter les outils de diagnostic. Ce matériel sera le plus utilisé durant les stages de 4e année à l’hôpital.

L’oxymètre de pouls

L’oxymètre de pouls n’est pas un équipement obligatoire. Le fait d’acheter ou non le matériel dépend en grande partie de votre spécialisation et de votre établissement. Si vous trouvez que l’investissement est assez onéreux, sachez alors que cet outil vous suivra toujours même lors de votre prise de fonction en milieu professionnel.

Le stéthoscope

Le stéthoscope est parmi les équipements les plus indispensables pour un apprenti en médecine. C’est d’ailleurs le symbole du docteur en milieu hospitalier. Comme marques de référence pour bien débuter en auscultation médicale, vous pouvez opter pour Spengler ou Litmann. Très utilisé en visite médicale, le stéthoscope est un outil de diagnostic indispensable pour un médecin.

Le marteau de réflexe

Que ce soit en pédiatrie ou en examens psychomoteurs, le marteau de réflexe sert à observer des anomalies du système nerveux ou des neuropathologies. Entre marteaux de Buck et marteaux Babinsky, sur le marché, on peut retrouver une large gamme de marteaux de réflexe.

Assister aux séances préparatoires avec la sage-femme

Les séances de consultation prénatale permettent au personnel soignant d’expliquer aux femmes enceintes le déroulement de la grossesse, mais également de la délivrance. L’obstétricienne de service expose toutes les éventualités. Elle indique notamment la possibilité de recourir à l’anesthésie locale. La péridurale consiste à injecter un produit qui atténue la douleur au niveau du bassin pendant le travail. L’accouchement sera alors moins douloureux. Ce soin peut tout de même avoir quelques effets secondaires. La nouvelle maman ne peut par exemple pas s’occuper correctement de son bébé pendant les premières heures suivant la naissance. Si la femme enceinte opte pour un accouchement naturel sans péridurale, les séances avec la sage-femme lui apprennent à gérer le souffle pour atténuer la douleur. D’après les informations sur ce site spécialisé, un bain chaud, un massage, etc. permettent de rendre l’accouchement naturel moins douloureux, presque sans douleur. Bien informée et soutenue par le père, la future maman peut donner naissance naturellement à son enfant.

Miser sur la préparation psychologique ou la relaxation

L’accouchement sans douleur n’est pas un mythe. Il devient possible avec beaucoup de préparations. Différentes méthodes sont proposées en alternatives à l’anesthésie. Celle de Bonapace s’appuie essentiellement sur les postures de yoga et la respiration. Le programme inclut aussi des exercices ainsi que des massages. Cet ensemble de soins aide à moins ressentir la souffrance physique. L’approche Bonapace fait également appel à la relaxation. Pour ce faire, la maman se donne une imagerie mentale de la délivrance en se persuadant que tout se déroule à merveille.

Une autre méthode consiste à donner naissance à l’enfant dans l’eau. L’immersion du bassin facilite le passage de bébé. Cette technique ajoute de la souplesse aux muscles pelviens. Le soulagement est palpable dès les premières contractions. Le travail se fait pratiquement en douceur. Cependant, cette méthode demande un bon encadrement.

Gérer le stress et la respiration aide à accoucher naturellement

Un accouchement sans douleur se prépare des semaines en amont du jour J. La femme enceinte peut préparer la délivrance avec l’aide d’un ostéopathe. Pour ce faire, elle doit suivre une formation de 28 jours pendant lesquels elle apprend à gérer différents aspects de la délivrance. Elle doit notamment adapter son alimentation. Puis, elle doit apprendre la respiration pour maitriser le stress. Composé avec la méditation, la respiration (apprise pendant les séances de préparation à l’accouchement ou avec l’ostéopathe) aide à mieux contrôler les contractions, le travail, la douleur de l’accouchement. Enfin, il y a la détermination de la mère. Quand elle est tellement inébranlable, elle oublie la souffrance, mais se focalise davantage sur sa mission : donner la vie à un être.

La sur utilisation des antibiotiques peut être nocive

Les antibiotiques ne sont pas nécessaires pour chaque maladie, et les donner à votre enfant quand ils ne sont pas garantis peut être potentiellement dangereux. En effet, ce médicament expose votre enfant aux effets secondaires potentiels du médicament comme la diarrhée, le et l’érythème fessier. Il accroît le risque de résistance aux antibiotiques. Par la même occasion, la prise excessive d’antibiotique peut amplifier le risque de maladies auto-immunes, y compris les maladies inflammatoires de l’intestin et l’arthrite juvénile idiopathique. Selon certaines recherches, elle peut augmenter le risque de surpoids chez l’enfant.

Quand les bébés peuvent-ils prendre des antibiotiques ?

Votre médecin vous prescrira des antibiotiques dans tous les cas où il soupçonne une infection bactérienne. Si votre médecin vous prescrit un antibiotique et que vous n’êtes pas certain qu’il soit nécessaire, demandez-lui pourquoi il en a besoin. Lorsque vous administrez un antibiotique à votre bébé, assurez-vous de le mesurer méticuleusement et de suivre toutes les instructions. Si le bébé crache ou vomit une ou plusieurs doses, consultez votre médecin.

Quand l’enfant a-t-il besoin d’antibiotiques ?

Si votre enfant est diagnostiqué avec une infection bactérienne, les antibiotiques peuvent être le meilleur traitement comme c’est le cas face à : la Streptocoque, l’Impétigo, les Infections de l’oreille, les Infections cutanées bactériennes, la Pneumonie bactérienne ou encore les Infections des voies urinaires et de la vessie.

Lorsque les antibiotiques ne sont pas nécessaires

Les antibiotiques ne tuent que les bactéries ou virus, responsables de nombreuses maladies infantiles, comme le rhume, la grippe, la fièvre aphteuse ou la croupe. Pour toutes ces maladies, un antibiotique ne fera aucun bien à votre enfant. Un antibiotique pour une maladie virale ne tue que les bactéries saines dans le système de votre enfant, ce qui la rend plus résistante aux infections bactériennes ultérieures.

Comment éviter la sur utilisation des antibiotiques

Le contrôle de l’utilisation des antibiotiques ne dépend pas seulement de votre médecin, c’est à vous de décider. Autant que vous voudriez une solution rapide, résistez à l’envie de demander à votre pédiatre des antibiotiques chaque fois que votre enfant a un reniflement, un mal de gorge ou une toux. Si votre enfant a un virus, le temps est souvent le meilleur médicament. Demandez à votre généraliste si les analgésiques peuvent aider à soulager les symptômes. Si votre petit a besoin d’un antibiotique, suivez-le attentivement pour éliminer l’infection le plus rapidement possible. Et donnez toujours à votre enfant une cure complète d’antibiotiques, même s’il semble mieux à mi-parcours.

Qu’est-ce que le thermothérapie et quand recourir à cette thérapie ?

Nos ancêtres ont déjà connu et pratiqué la thermothérapie. C’est une thérapie qui est tout à fait naturelle. Par contre, si la plupart des gens pensent que la thermothérapie ne se fait qu’avec l’application d’un objet chaud sur la partie endolorie, il faut savoir qu’il est aussi possible d’utiliser un objet froid. Cependant, la plupart des thérapeutes pratiquant la thermothérapie utilise la chaleur pour le traitement sauf en cas de déchirures, de problèmes d’articulations qui présentent de la douleur, mais aussi dans les cas de contusions. Pour ces problèmes de douleurs, il est plutôt recommandé d’appliquer un objet froid pour le traitement.

Pourquoi opter pour la thermothérapie ?

Selon les spécialistes, la thermothérapie est idéale pour soulager les zones du muscle endolorie parce qu’en augmentant la température localement, on peut activer et améliorer la circulation du sang sur cette zone. Ce qui va permettre d’intensifier les échanges sur la zone traitée et ainsi, améliorer l’apport en nutriments sur la zone et augmenter oxygénation. En d’autres termes, cette augmentation de température va accélérer la réparation et la régénération cellulaire. La chaleur permet également le nettoyage des cellules défaillantes et endommagées. Cela explique par ailleurs, la raison pour laquelle de nombreux médicaments antalgiques et antidouleurs qu’on applique localement donne une impression de chaleur sur la zone endolorie. Et enfin, il faut aussi savoir que la chaleur permet de réduire la transmission des messages de douleurs au niveau du cerveau. On ressentira moins la douleur avec l’application de la thermothérapie.

Comment appliquer la thermothérapie pour soulager une douleur ?

La thermothérapie est utilisée dans des pratiques qu’on connait, mais qu’on ne soupçonne pas. En effet, quand on fait un bain chaud après avoir fait une longue marche par exemple, c’est de la thermothérapie qui permet d’atténuer la douleur des muscles des jambes. Quand on va au sauna ou dans un hammam, c’est également le cas pour se soulager de la fatigue musculaire. Cependant, pour les cas de douleurs locales, on peut aussi appliquer une bouillote sur la zone endolorie, ou une couverture chauffante. Vous avez aussi différents types de crèmes composées de camphres ou de mentholées qui sont très utilisées dans la thermothérapie.

Mode de transmission

Une fois transmis à l’Homme, le virus peut être facilement transmis d’un individu à un autre par voie respiratoire et par les postillons. Tout contact avec une personne atteinte du virus facilite sa transmission. De nombreuses recherches tendent d’ailleurs à prouver que le virus peut se transmettre par l’air. La transmission par voie alimentaire est également envisagée.

Quels sont les symptômes du covid-19 ?

Basés sur les études effectuées par l’OMS, voici les symptômes les plus fréquents. Il y a tout d’abord la fièvre et les toux sèches qui touchent respectivement 88 % et 68 % des cas confirmés. Il y a ensuite la fatigue et l’expectoration qui touchent 38 % et 33 % des personnes atteintes du virus. 19 % des cas ressentent un essoufflement et 15 % ressentent des douleurs articulaires ou osseuses. 14 % des cas ont des maux de tête ou des maux de gorge et 11 % ont des frissons. Les symptômes les plus rares sont les toux sanguinolentes et les yeux gonflés (1 % chacun). L’urticaire ainsi que la perte d’odorat et du goût font partie de ces symptômes rares. Si vous voulez savoir si vous avez le covid-19, rendez-vous sur les sites tels que www.abilis.ch.

Quel traitement suivre ?

Pour l’instant, il n’y a aucun traitement reconnu comme étant efficace pour traiter la maladie. Les molécules antivirales déjà connues sont utilisées jusqu’à la découverte d’un médicament. Le lopinavir et l’arbidol utilisés en Russie et en Chine présentent actuellement les meilleurs résultats. D’autres pays utilisent la chloroquine, un antiviral efficace contre le paludisme. De nombreux laboratoires à travers le monde effectuent également des recherches pour élaborer un vaccin. Si ce dernier est mis au point, il faudra cependant attendre près d’un an avant qu’il ne puisse être déployé à travers le monde.

Manifestations du stress sur le comportement et ses relations

Quand une personne est victime de stress, différents symptômes peuvent apparaître, des symptômes à la fois physiques, psychiques et cognitifs. En effet, la personne peut sentir une fatigue constante même si elle prend du temps pour se reposer. C’est le cas, car le stress épuise totalement l’esprit et le corps. Par ailleurs, le stress provoque des troubles du sommeil, puisqu’il maintient en permanence en activité l’esprit de la personne. À cause de tout cela, son corps est épuisé et son système immunitaire s’affaiblit. Conséquence, la personne peut attraper facilement des maladies. Elle devient fragile et peut aisément souffrir de maux de tête, de douleurs d’estomac, de maux de ventre, etc.
Une personne stressée présente souvent des troubles de l’alimentation, car son corps va réagir aux symptômes et elle aura peu d’appétit. Puis, cela pourra avoir une influence sur la digestion.
En outre, le stress peut augmenter le rythme cardiaque d’une personne et provoquer des palpitations. Il peut arriver que la personne stressée cherche un moyen d’évacuer la pression qu’elle ressent en se tournant vers la cigarette, la drogue ou l’alcool, ce qui peut engendrer une addiction.
Concernant les symptômes psychiques du stress, la victime peut sentir une tension constante qui va provoquer une irritabilité permanente. Pour son entourage, ses collègues, cette irritabilité n’est pas facile à vivre. Ils sont donc aussi victimes du stress. Puis, le stress constant peut aussi conduire à un burn-out ou à une déprime. De ce fait, elle peut ne plus apprécier la vie et s’isoler socialement. N’oublions pas non plus de mentionner les symptômes cognitifs du stress comme la diminution du degré de prestation, les troubles de concentration, les problèmes de mémoire, l’indécision et les tracas.

L’environnement et le stress

Quand l’environnement dans lequel vit une personne devient hostile, il peut devenir source de stress. En effet, si une personne vit dans une région victime d’inondations ou de séisme à répétition, cet environnement peut lui causer du stress. Une personne habitant dans un environnement bruyant, près d’usines de fabrication, d’usines de traitement de substances polluantes et dangereuses, peut aussi souffrir de stress du fait de son environnement. Lorsqu’une personne vit dans un environnement où l’insécurité règne, par exemple la violence et le vol, il peut facilement être victime de stress, car il se sentira tout le temps en danger. Puis, n’oublions pas de mentionner que le changement de températures peut aussi être une source de stress rapide, puisque cela change de nos perceptions normales.

Les autres sources du stress

À part les facteurs environnementaux, d’autres éléments peuvent causer le stress au quotidien. Il y a par exemple les facteurs professionnels tels que la surcharge de travail, les pressions du chef au bureau, les retards dans les tâches à accomplir, les heures supplémentaires excessives, le manque de reconnaissance des responsables, etc. Les difficultés relationnelles peuvent également provoquer un stress, car ils engendrent souvent de la peur et le malaise. Mais l’une des plus grandes sources de stress au quotidien est les problèmes financiers difficiles à gérer comme les crédits insolvables, le surendettement, etc. Avec le manque d’argent s’ajoute souvent le sentiment de culpabilité et de mal-être entraînant de l’anxiété. Enfin, les études et les enfants peuvent également être source de stress, surtout lorsque ces derniers sont encore petits et qu’ils tombent souvent malades.

Quelles sont les solutions possibles pour remédier au stress ?

Pour éliminer le stress, il faut identifier sa source et y remédier. Si votre stress est dû à vos problèmes d’argent, vous devez trouver un moyen pour les résoudre en réduisant vos dépenses, en trouvant un autre emploi pour arrondir vos fins de mois, en envisageant de regrouper vos crédits en un seul crédit, etc. Si votre stress est causé par l’accumulation de vos tâches au travail, vous pouvez organiser vos tâches, déléguer certains travaux ou en discuter à votre supérieur. Si la situation est vraiment difficile et que vous ne parvenez pas à trouver une solution dans l’immédiat, vous devez essayer de vous y adapter pour que le stress diminue. Vous pouvez par exemple vous détendre en sortant avec vos amis ou en faisant des choses que vous aimez. Les activités sportives sont aussi un excellent moyen de diminuer le stress. Enfin, vous pouvez aussi faire de la méditation, du yoga, de la musique, etc. pour éliminer le stress.

Un défibrillateur c’est quoi ?

Le défibrillateur est un appareil qui sert à empêcher la fibrillation ventriculaire qui pourrait causer un arrêt cardiaque chez le patient. Son utilisation permet de créer un choc électrique au niveau du thorax ou plus précisément le cœur. On parle aussi cardioversion quand il s’agit de choc électrique externe pendant la défibrillation. La défibrillation est réalisée pour faire redémarrer le rythme du cœur qui a été troublé. Lorsque la défibrillation est réussie, le rythme cardiaque redevient normal. Un défibrillateur est équipé de batteries lui offrant mobilité. Ainsi, il ne requiert pas un branchement électrique sachant d’ailleurs qu’il peut être utilisé n’importe où, là où le patient se trouve au moment de la perte de connaissance. Ce matériel est aussi équipé de bloc électrique qui fournit le choc électrique nécessaire pour l’intervention. Il est réglable en trois niveau notamment la forme, la durée et l’intensité. Le défibrillateur comporte également un élément assurant la transmission de l’influx électrique vers le patient. Celui-ci comporte deux électrodes qui sont à la fois larges et plates. Pour faire passer le courant, l’utilisation d’un gel conducteur est nécessaire : il doit recouvrir les électrodes qui seront placées sur le thorax du patient pendant l’intervention. Il faut préciser que les électrodes utilisées sur les enfants sont de taille plus réduite. Parmi les éléments du défibrillateur, on retrouve : un écran à cristaux, des boutons, une paire de ciseaux,
Il est à préciser que la défibrillation est une solution urgente, pratiquée souvent en attendant les secours. Il est possible de la pratiquer sans l’appareil en réalisant un massage cardiaque. Dans certains cas, même si le cœur redémarre et reprend son rythme normal après défibrillation, la survie du patient n’est pas pour autant garantie. En effet, cette solution ne guérit pas la cause, elle est généralement utilisée en attendant l’intervention des secours.

Comment fonctionne un défibrillateur ?

Le fonctionnement du défibrillateur se fait en quelques étapes. Pour commencer, il faut le mettre en marche. Pour cela, il faut poser le défibrillateur sur le patient et appuyer sur le bouton d’arrêt-marche de l’appareil. Ensuite, il faut préparer la victime et connecter les électrodes. N’oubliez pas de ôter les vêtements qui cachent la poitrine du patient, utilisez les ciseaux si nécessaire. Enchaînez par l’étude du rythme cardiaque du patient : le défibrillateur comporte le bouton destiné à cet effet. Procédez maintenant à la réalisation du choc électrique. Veuillez-vous en tenir aux recommandations définies par l’appareil. Celles-ci peuvent varier en fonction de la situation. Pour terminer, il faut éteindre l’appareil mais seulement après avoir obtenu la recommandation d’un médecin ou des secouristes.
Il est important de respecter les réglementations relatives à l’utilisation du défibrillateur. Selon le décret du 4 mai 2007, tout le monde peut utiliser cet appareil pour aider une personne qui se trouve en arrêt cardiaque, et ce, même si vous n’êtes pas médecin. D’après la loi, l’utilisation du défibrillateur est un acte citoyen dans la mesure où il peut sauver des vies. Par ailleurs, il est vivement recommandé de suivre une initiation afin d’utiliser correctement l’appareil.