Bien dans votre tête

La santé, c’est dans la tête d’abord. Il vous faut donc adopter les gestes qu’il faut pour que ça aille bien là-haut. De l’exercice physique est essentiel, donc choisissez une activité que vous aimez ou bien demandez à votre médecin quels exercices vous pouvez pratiquer exactement. Vous pouvez par exemple faire de la course sur place, ou des exercices de cardio chez vous, en poussant quelques meubles ou dans le couloir. Puis, veillez à prendre des repas équilibrés, des aliments sains, pas trop salés, ni trop sucrés ni trop gras. Mais vous pouvez faire plus, par exemple, vous plonger dans un de vos bouquins préférés. Avez-vous toujours rêvé d’apprendre une langue étrangère ? Lancez-vous à l’aide de vidéos sur Internet. Vous trouverez également des recettes originales de cuisine, à essayer.

Pas de distanciation sociale

Oui à la distanciation physique mais non à la distanciation sociale. Il est important de saisir la différence. Ne vous isolez pas. Évidemment, vous ne pouvez plus voir vos proches ni les serrer dans vos bras. Mais vous pouvez les voir par visioconférence par exemple. Faites des jeux avec eux, chantez avec eux et mangez avec eux! Même si cela se fait derrière un écran, vous passerez ensemble un moment agréable, à renouveler autant que vous le souhaitez. N’oubliez pas de garder contact avec votre médecin et n’hésitez pas à l’informer dès que votre santé décline.

Assister aux séances préparatoires avec la sage-femme

Les séances de consultation prénatale permettent au personnel soignant d’expliquer aux femmes enceintes le déroulement de la grossesse, mais également de la délivrance. L’obstétricienne de service expose toutes les éventualités. Elle indique notamment la possibilité de recourir à l’anesthésie locale. La péridurale consiste à injecter un produit qui atténue la douleur au niveau du bassin pendant le travail. L’accouchement sera alors moins douloureux. Ce soin peut tout de même avoir quelques effets secondaires. La nouvelle maman ne peut par exemple pas s’occuper correctement de son bébé pendant les premières heures suivant la naissance. Si la femme enceinte opte pour un accouchement naturel sans péridurale, les séances avec la sage-femme lui apprennent à gérer le souffle pour atténuer la douleur. D’après les informations sur ce site spécialisé, un bain chaud, un massage, etc. permettent de rendre l’accouchement naturel moins douloureux, presque sans douleur. Bien informée et soutenue par le père, la future maman peut donner naissance naturellement à son enfant.

Miser sur la préparation psychologique ou la relaxation

L’accouchement sans douleur n’est pas un mythe. Il devient possible avec beaucoup de préparations. Différentes méthodes sont proposées en alternatives à l’anesthésie. Celle de Bonapace s’appuie essentiellement sur les postures de yoga et la respiration. Le programme inclut aussi des exercices ainsi que des massages. Cet ensemble de soins aide à moins ressentir la souffrance physique. L’approche Bonapace fait également appel à la relaxation. Pour ce faire, la maman se donne une imagerie mentale de la délivrance en se persuadant que tout se déroule à merveille.

Une autre méthode consiste à donner naissance à l’enfant dans l’eau. L’immersion du bassin facilite le passage de bébé. Cette technique ajoute de la souplesse aux muscles pelviens. Le soulagement est palpable dès les premières contractions. Le travail se fait pratiquement en douceur. Cependant, cette méthode demande un bon encadrement.

Gérer le stress et la respiration aide à accoucher naturellement

Un accouchement sans douleur se prépare des semaines en amont du jour J. La femme enceinte peut préparer la délivrance avec l’aide d’un ostéopathe. Pour ce faire, elle doit suivre une formation de 28 jours pendant lesquels elle apprend à gérer différents aspects de la délivrance. Elle doit notamment adapter son alimentation. Puis, elle doit apprendre la respiration pour maitriser le stress. Composé avec la méditation, la respiration (apprise pendant les séances de préparation à l’accouchement ou avec l’ostéopathe) aide à mieux contrôler les contractions, le travail, la douleur de l’accouchement. Enfin, il y a la détermination de la mère. Quand elle est tellement inébranlable, elle oublie la souffrance, mais se focalise davantage sur sa mission : donner la vie à un être.

Qu’est-ce que le thermothérapie et quand recourir à cette thérapie ?

Nos ancêtres ont déjà connu et pratiqué la thermothérapie. C’est une thérapie qui est tout à fait naturelle. Par contre, si la plupart des gens pensent que la thermothérapie ne se fait qu’avec l’application d’un objet chaud sur la partie endolorie, il faut savoir qu’il est aussi possible d’utiliser un objet froid. Cependant, la plupart des thérapeutes pratiquant la thermothérapie utilise la chaleur pour le traitement sauf en cas de déchirures, de problèmes d’articulations qui présentent de la douleur, mais aussi dans les cas de contusions. Pour ces problèmes de douleurs, il est plutôt recommandé d’appliquer un objet froid pour le traitement.

Pourquoi opter pour la thermothérapie ?

Selon les spécialistes, la thermothérapie est idéale pour soulager les zones du muscle endolorie parce qu’en augmentant la température localement, on peut activer et améliorer la circulation du sang sur cette zone. Ce qui va permettre d’intensifier les échanges sur la zone traitée et ainsi, améliorer l’apport en nutriments sur la zone et augmenter oxygénation. En d’autres termes, cette augmentation de température va accélérer la réparation et la régénération cellulaire. La chaleur permet également le nettoyage des cellules défaillantes et endommagées. Cela explique par ailleurs, la raison pour laquelle de nombreux médicaments antalgiques et antidouleurs qu’on applique localement donne une impression de chaleur sur la zone endolorie. Et enfin, il faut aussi savoir que la chaleur permet de réduire la transmission des messages de douleurs au niveau du cerveau. On ressentira moins la douleur avec l’application de la thermothérapie.

Comment appliquer la thermothérapie pour soulager une douleur ?

La thermothérapie est utilisée dans des pratiques qu’on connait, mais qu’on ne soupçonne pas. En effet, quand on fait un bain chaud après avoir fait une longue marche par exemple, c’est de la thermothérapie qui permet d’atténuer la douleur des muscles des jambes. Quand on va au sauna ou dans un hammam, c’est également le cas pour se soulager de la fatigue musculaire. Cependant, pour les cas de douleurs locales, on peut aussi appliquer une bouillote sur la zone endolorie, ou une couverture chauffante. Vous avez aussi différents types de crèmes composées de camphres ou de mentholées qui sont très utilisées dans la thermothérapie.

La méditation peut-elle changer la façon de penser ?

Le but de la méditation n’est pas de mettre de côté le stress ou de bloquer les pensées négatives, mais plutôt de remarquer et d’appréhender ces pensées et ces sentiments. Vous ne devez donc pas agir sur eux. Vous devez reconnaître que, bien qu’ils vous affectent, ils ne vous définissent pas, et ils ne sont pas en vous.

Comment votre cerveau réagit-il lors de la méditation ?

Le stress et l’anxiété sont les principaux facteurs déclencheurs de la dépression. La méditation peut modifier votre réaction face à cet état de mal-être. En effet, la méditation entraîne le cerveau à atteindre une concentration soutenue et à revenir à cette concentration lorsque des pensées négatives, des émotions intenses et des sensations physiques désagréables surgissent. Cela arrive souvent lorsque vous vous sentez stressé et anxieux.

Il a été démontré que la méditation modifiait certaines régions du cerveau spécifiquement liées à la dépression. Par exemple, le cortex préfrontal médian (mPFC) devient hyperactif chez les personnes déprimées. Le mPFC est souvent appelé le « centre Moi » parce que c’est là que vous traitez les informations vous concernant, que vous vous souciez de l’avenir et ruminiez sur le passé. Lorsque les gens sont stressés, le mPFC passe donc à « l’overdrive ».

Une autre région du cerveau associée à la dépression est l’amygdale, ou « centre de la peur ». C’est la partie du cerveau responsable de la réponse de combat ou de fuite face à une situation menaçante. C’est elle qui déclenche les glandes surrénales pour libérer le cortisol, l’hormone du stress, en réponse à la peur et au danger perçu.

Ces deux régions cérébrales agissent l’une sur l’autre pour provoquer une dépression. Le centre du Moi s’énerve pour réagir au stress et à l’anxiété, et la réponse du centre de la peur entraîne une augmentation des niveaux de cortisol pour lutter contre un danger qui n’est que dans votre esprit. Les recherches ont ainsi montré que la méditation aide à rompre la connexion entre ces deux régions du cerveau. Lorsque vous méditez, vous êtes mieux à même d’ignorer les sensations négatives de stress et de l’anxiété. Cela explique en partie pourquoi les niveaux de stress diminuent lorsque vous méditez. Dans ce cas, suivre une formation complète sur la méditation ne paraît plus une activité futile.

La méditation aide également le cerveau en protégeant l’hippocampe (une zone cérébrale impliquée dans la mémoire). Une étude a permis de découvrir que les personnes qui méditaient 30 minutes par jour pendant huit semaines augmentaient le volume de matière grise dans leur hippocampe. D’autres recherches ont montré que les personnes souffrant de dépression récurrente ont tendance à avoir un hippocampe plus petit.

Comment identifier les signes de stress ?

Tout le monde peut être stressé. Cependant, lorsqu’il affecte votre vie, votre santé et votre bien-être, il est essentiel d’apprendre comment le gérer. Pour ce faire, il faut d’abord apprendre à détecter les signes du stress. Bien que le stress affecte différemment les gens, on peut constater des signes et des symptômes communs :
– sentiments d’inquiétude ou d’anxiété constante
– sentiment d’être dépassé
– difficulté de concentration
– sautes d’humeur
– irritabilité ou humeur courte
– difficulté à se détendre
– dépression
– changements dans les habitudes de sommeil
– perte de libido, etc.

À quoi peut conduire un stress prolongé ?

Une quantité modérée de stress peut nous aider à mieux performer dans des situations difficiles. Mais un stress trop important ou prolongé peut entraîner des problèmes physiques et psychiques plus ou moins graves. Cela peut entraîner des troubles digestifs et intestinaux, des problèmes de santé mentale tels que la dépression. Cela signifie qu’il est important de gérer votre stress et de le maintenir à un niveau sain pour éviter des dommages à long terme sur votre corps et sur votre esprit.

Vaincre le stress par des exercices de respiration

Les exercices de respiration sont un moyen extrêmement simple, efficace et pratique de réduire le niveau de stress et d’inverser votre réponse au stress, réduisant ainsi ses effets négatifs. La respiration diaphragmique peut aider à se relaxer et à soulager le stress. Mais il existe plusieurs types d’exercices de respiration à essayer. Outre ceux proposés sur le site www.exercices-respiration.com, voici quelques exercices de respiration que vous pouvez faire :
– Respiration consciente :
Mettez-vous dans une position confortable, fermez les yeux et commencez à remarquer votre respiration. Prendre conscience de votre respiration peut vous aider à devenir plus conscient de la réponse de votre corps au stress et peut vous aider à détendre votre respiration.
– Respiration comptée :
Compter vos respirations peut être utile. Forme de méditation, cette technique de respiration aide à la stimulation et à la relaxation. Elle peut aussi se faire de différentes manières.
Pendant que vous inspirez, placez votre langue contre votre palais, puis respirez par le nez et comptez lentement à partir de cinq. À l’expiration, laissez l’air s’échapper par la bouche et comptez jusqu’à huit. Puis répétez. Cela vous aide à vraiment vider vos poumons et à vous détendre à chaque respiration.
Une autre variante est connue sous le nom de « respiration 4-7-8 » et est recommandée par le Dr Andrew Weil, expert en bien-être. Avec cette variante, il faut inspirer en comptant jusqu’à quatre, retenir le souffle en comptant jusqu’à sept et expirer par la bouche en comptant jusqu’à huit. Cela vous permet de faire une pause entre les respirations et de vraiment ralentir votre respiration. Au début, pratiquez la respiration 4-7-8 pendant quatre respirations, puis progressez progressivement jusqu’à huit respirations complètes.

Pourquoi a-t-on des pellicules ?

Les pellicules apparaissent lorsque votre cuir chevelu est sec, mais elles peuvent être également le résultat d’une maladie de la peau qu’on appelle dermatite séborrhéique. D’autres facteurs peuvent être aussi à l’origine des pellicules, décrits sur le site http://eliminer-pellicule.fr, notamment une autre maladie de la peau qu’est le fameux eczéma. Le champignon appelé Malassezia peut être la cause de l’apparition des pellicules ou encore le psoriasis. Si vous voulez avoir un avis sûr et médical sur vos pellicules, consultez votre médecin qui pourrait vous donner des conseils pour les réduire. Il est important de savoir quelle est la cause exacte de vos pellicules afin qu’il puisse vous prescrire le médicament et les soins les plus adaptés. Faites-le sans attendre si vos pellicules sont particulièrement abondantes et que vous passez la plupart de votre temps à vous gratter la tête. Essayez de ne pas gratter votre cuir chevelu avec vos ongles parce que vous risquez de saigner, ce qui ne fera qu’aggraver les choses. Grattez avec le plat de votre main et n’y mettez pas toute votre force, en tout cas, consulter.

Des solutions pour vous débarrasser des pellicules

Votre médecin peut vous préconiser un shampoing contenant du pyrithione de zinc qui attaque directement les champignons et les bactéries, contenant aussi de l’acide salicylique qui détache les pellicules de votre cuir chevelu, pour qu’elles partent facilement au lavage. Il existe des solutions naturelles à votre portée, comme l’aspirine qui contient aussi de l’acide salicylique. Il vous suffit d’en écraser deux cachets à les mélanger avec un shampoing doux, de laisser agir 2 minutes environ, de bien rincer et finir par un deuxième lavage au shampoing sans aspirine cette fois. Le vinaigre de cidre est aussi efficace en raison de son acidité qui neutralise rapidement les levures. Faites un mélange avec un quart de tasse de vinaigre de cidre et autant d’eau, à vaporiser sur vos cheveux. Laissez reposer quelques dizaines de minutes et rincez abondamment et répétez cette opération 2 fois par semaine. Peut-être que c’est de l’huile de coco que vous avez chez vous, son efficacité a été prouvée pour traiter les pellicules. Avant de laver vos cheveux, massez votre cuir chevelu avec et laisser agir 1 heure puis lavez avec votre shampoing habituel. Vous serez content du résultat qui est rapide et durable. Il est préférable que, désormais, vous preniez cette habitude pour ne plus avoir à souffrir de démangeaisons et pour ne plus avoir de pellicules.

Le stress, le lot de tous

Il faut dire qu’avec le rythme effréné de la vie occidentale, il est quasi impossible de ne pas être stressé. Toujours plus haut, toujours plus vite, toujours plus riche, tels sont les credo auxquels sont soumis les uns et les autres. Ce qui ne laisse aucun répit à personne. On s’inquiète pour savoir comment obtenir tel ou tel poste, telle ou telle promotion, le dernier gadget commercialisé, la voiture dernière génération. On cherche des moyens pour se payer un nouveau mobilier, de nouveaux travaux sur sa maison, une nouvelle destination pour les vacances, etc. Mais dans les pays pauvres, la plupart des gens se contentent de vivre au jour le jour, autrement dit, de survivre. Cela peut leur causer du stress aussi, mais étant donné que c’est déjà leur quotidien, on peut dire qu’ils en sont moins touchés.

Comment se défaire du stress ?

Il n’est pas possible d’échapper au stress. Et, quelle que soit la somme d’efforts que l’on fournit dans ce sens, il est tout aussi impossible d’échapper à 100 % à ses effets. Le risque, c’est que si l’on n’apprend pas à gérer le stress, celui-ci a tendance à envahir peu à peu au point où on perd tout contrôle sur soi et sur sa vie. Arrivé à ce stade, on peut déjà parler de désastre. Alors, que faire pour que le stress ne domine pas sur soi ? En cas de stress soudain, la première chose à faire est d’effectuer un exercice de respiration. Il faut savoir que sous l’effet de l’angoisse, la respiration s’accélère. Ce qui fait diminuer la quantité d’oxygène qui entre dans l’organisme. Conséquence, on transpire, on ressent un malaise. Pour déstresser, le site https://www.debloquer-diaphragme.com/ explique qu’il faut faire une respiration diaphragmatique. Cela permet de détendre le diaphragme et de faire disparaître rapidement cette sensation d’avoir une boule au ventre.
Ensuite, il faut se mettre à identifier les pensées négatives que l’on a accumulées depuis son enfance. En mettant le doigt dessus, on a plus de facilité à les éliminer ensuite. Les fausses croyances, les formules dévalorisantes, les sentiments pessimistes sont à remplacer par leurs pendants positifs.

Se concentrer sur ses qualités

Lorsqu’on est soumis à un stress important et que l’on commence à perdre la maîtrise de la situation, on finit par se persuader qu’on est un bon à rien, un incapable. On ne peut plus rien organiser, donc on pense qu’on est un être brouillon et incohérent. On ne trouve pas la solution et on se persuade qu’on est quelqu’un dont le QI est largement en dessous de la moyenne, etc. Alors, il est temps de renverser la vapeur et d’essayer de chercher et d’identifier ses qualités. On en a tous, mais on a trop tendance à les minimiser tout en donnant des proportions plus importantes à ses défauts et erreurs. On liste donc ses points forts, on en prend conscience et on apprend à s’apprécier à sa juste valeur. Cette façon d’aborder la vie apporte forcément plus de joie et davantage d’enthousiasme et surtout, aide à mieux gérer le stress.

L’hypertension

La liste des causes pouvant être à l’origine de l’impuissance d’une personne est longue. Parmi les causes mentionnées sur www.impuissance-solution.com, il y a l’alcool, le stress,… Il y a également l’hypertension. En effet, pour que le pénis durcisse, il faut que le sang irrigue cet organe. Si vous avez un problème artériel, il se peut que votre impuissance en soit la conséquence. Il convient par ailleurs de noter que des résultats de recherches ont conclu que l’hypertension est l’une des principales causes du dysfonctionnement érectile. Les résultats d’études ont par la même occasion révélé que l’impuissance causée par l’hypertension toucherait principalement les hommes âgés de plus de 65 ans.

Les causes hormonales

Le DALA ou Déficit Androgénique Lié à l’Age peut être une cause d’impuissance. Cette maladie entraîne une baisse du taux de testostérone. Il est donc difficile pour la personne qui en est la victime d’avoir une érection normale. D’autres symptômes accompagnent aussi cette baisse du taux de testostérone comme la baisse de la libido, l’atrophie musculaire ou encore l’atrophie osseuse.

Les troubles neurologiques

Certains troubles tels que l’AVC, le traumatisme médullaire, la sclérose en plaques sont des facteurs qui favorisent l’impuissance. Si après une opération au niveau de la prostate, la personne constate qu’elle a des troubles d’érection, il est important de voir son médecin. En effet, il se peut que des nerfs du pénis aient été touchés lors de l’intervention chirurgicale.

Le cholestérol

Eh oui ! Le cholestérol aussi peut être une cause d’impuissance. En effet, si vous prenez des repas trop gras, la graisse peut boucher vos artères. Or, c’est par les artères que le sang circule pour irriguer votre appareil génital. Si vous avez ainsi une panne au lit due au cholestérol, commencez à faire attention à vos habitudes alimentaires. Faites également des exercices physiques pour lutter contre le cholestérol et retrouver votre libido.

Le diabète

Maladie chronique, le diabète peut vous empêcher d’avoir une érection. Elle agit en endommageant vos nerfs. Or, c’est par les nerfs que les signaux du plaisir sont transmis à votre cerveau. C’est donc sans trop de surprise si l’on constate que la majorité des hommes ayant le diabète souffrent d’impuissance.

L’hypertrophie bénigne de la prostate

Il s’agit d’une maladie qui peut entraîner des troubles de l’érection. Bien que l’HBP n’ait pas été prouvé scientifiquement comme étant une cause directe d’impuissance, elle reste néanmoins une cause indirecte du dysfonctionnement érectile. Cette hypertrophie entraîne des insomnies et des fatigues. Conséquence, votre libido va baisser et vous pouvez avoir des troubles érectiles.

Les causes rénales

Les reins sont des organes très importants. Si vous êtes touchés par une maladie des reins, il y a de fortes probabilités que les nerfs soient altérés. Le suivi d’un traitement pour les reins va par ailleurs empirer le problème érectile.

La blessure à l’abdomen

Certaines blessures à l’abdomen peuvent également être une cause d’impuissance, d’autant plus si vos nerfs ou vos artères ont été altérés par la blessure. Cela empêche les signaux du plaisir d’arriver au cerveau et d’avoir envie de faire l’amour.

Quels sont les symptômes du choc émotionnel ?

L’état de choc ne dure que quelques minutes en général, voire quelques heures. L’organisme de la personne réagit rapidement en libérant des hormones du stress en grande quantité qui engendrent ensuite différents symptômes comme l’immobilité, c’est-à-dire que la personne se fige sans réaction pendant quelques minutes. Le choc émotionnel peut aussi entraîner l’agitation et la fuite de la personne avec un rythme cardiaque accéléré et une respiration saccadée. Il peut également provoquer une paralysie, une perte de connaissance, une panique, des pleurs ou des gestes incontrôlables et inadaptés. Le choc émotionnel peut par ailleurs plonger une personne dans un état de stress aigu. Certaines personnes deviennent violentes quand elles sont en état de choc, car elles se sentent désorientées. Dans les jours qui suivent le traumatisme émotionnel, d’autres symptômes peuvent apparaître comme une grande tristesse, l’anxiété, l’état de désespoir, la peur, le sentiment d’insécurité, l’angoisse, la colère, le déni, des troubles du sommeil, la fatigue, la culpabilité, les douleurs physiques, etc. L’évolution des symptômes varie d’un individu à l’autre. Ils peuvent parfois être très grave, par exemple en engendrant une dépression ou une dépendance aux drogues ou à l’alcool.

Que faire en cas de choc émotionnel ?

Quand le choc survient, il est essentiel de trouver de l’aide, car les émotions sont souvent très intenses et parler de cela avec d’autres personnes permet une libération émotionnelle. Cela permet à la victime d’être plus détendue et plus soulagée. En exprimant sa tristesse, sa colère et les choses qui l’inquiètent, la personne se sentira plus légère et cela permet de limiter l’impact du traumatisme. Comme le conseille Emotions-detox.fr, la personne qui a subi un choc émotionnel doit apprendre des techniques de gestion des émotions pour vivre au mieux et récupérer rapidement en cas de nouvel état de choc. Il est donc recommandé de se faire aider par un spécialiste ou un professionnel de santé après un état de choc émotionnel, surtout si celui-ci a engendré des conséquences graves sur la vie quotidienne. Pour réduire les dégâts du traumatisme et améliorer la santé de la victime, il est indispensable qu’elle retrouve aussi un équilibre organique. Pour cela, elle doit manger plus sainement, prendre beaucoup de repos, pratiquer des activités physiques et faire des choses qui lui plaisent vraiment, par exemple faire des voyages, sortir de temps en temps avec des amis, etc.

Le matériel à prévoir

En fonction du degré d’indépendance de la personne âgée, la toilette peut se faire dans une baignoire, une douche, au lavabo ou encore au lit. Dans ce dernier cas, vous devez prévoir une cuvette. Vous avez aussi besoin de deux serviettes de toilette (une pour la partie intime et une autre pour le reste du corps), de deux gants, d’un savon, du shampoing, d’une brosse à dents, d’un dentifrice, de cotons-tiges, de compresses, de sérum physiologique pour nettoyer les yeux, d’une brosse à cheveux, d’un coupe-ongle, d’un rasoir et d’une crème de beauté hydratante.

Procédez à la toilette

Lorsque vous faites la toilette de la personne âgée, commencez par son visage et son cou. Poursuivez avec le torse, les mains, le dos et l’abdomen. Lavez ensuite les cuisses, les jambes et les pieds. Faites ensuite la toilette des parties génitales. Puis terminez avec la toilette des dents.
Vous devez porter un gant lors de la toilette. Et bien entendu, la température de l’eau doit être confortable pour la personne. Évitez de frotter sa peau, qui est fragile, lorsque vous l’essuyez. Tamponnez-la doucement.

Respectez l’intimité et la pudeur de la personne âgée

Faire la toilette d’une personne âgée vous fait entrer dans sa sphère intime. Il est donc indispensable de respecter sa pudeur. Il faut savoir que si c’est un membre de la famille qui s’en charge, il se peut que cela mette mal à l’aise le senior s’il n’entretient pas un lien étroit avec la personne qui s’en charge. Beaucoup de familles recourent aujourd’hui à une aide à la toilette proposée par un auxiliaire de vie pour éviter cela. Le site https://www.ouihelp.fr/notre-solution/aide-autonomie/aide-a-la-toilette/ par exemple détaille les avantages de ce service. L’auxiliaire de vie est formé pour ce type d’intervention et saura réaliser la toilette du senior en tenant compte de ses capacités et de son rythme. Comme il s’agit d’une tâche à effectuer quotidiennement, l’intervention d’un auxiliaire de vie pourrait être d’une grande aide pour les familles ne disposant pas d’assez de temps pour s’occuper de la toilette de leurs proches âgés.